La Revue de l’Énergie, au cœur des transitions énergétiques

La Revue de l’Énergie, revue à comité de lecture diffusée depuis 1949, est un lieu d’analyse, de décryptage et de débat constructif sur les questions énergétiques, à l’interface des milieux académiques, industriels et politiques.

 

Éditeur

La Revue de l’Énergie est éditée par le Conseil Français de l’Énergie, association d’utilité publique dont l’objectif est de promouvoir la fourniture et l’utilisation durables de l’énergie pour le plus grand bien de tous.
Fondé en 1923, le Conseil Français de l’Énergie est le comité national représentant la France auprès du Conseil Mondial de l’Énergie (World Energy Council) qui rassemble plus de 3 000 organisations et représente près de 90 pays.

Comité d’orientation

Claude Mandil, président
Jean-Christophe Le Duigou
Valérie Mignon
Marie-José Nadeau
Laurence Parisot
Jacques Percebois
Pierre Radanne

Comité de rédaction

Il est animé par Marie-Line Vaiani, rédactrice en chef.

François Carême
Jean-Guy Devezeaux de Lavergne
Jean-Michel Figoli
Christian de Gromard
Jean-François Gruson
Richard Lavergne
François Moisan
Nathalie Popiolek
Lionel Ragot

Histoire de la revue

Dès sa création en 1949 par Edmond Epstein, à l’époque sous le nom de Revue Française de l’Énergie, La Revue de l’Énergie est au cœur des transitions énergétiques : elle offre un cadre de débat d’idées et de critiques constructives, tout en refusant les polémiques stériles. Tout au long de son histoire, elle ouvre ses pages aux points de vue d’auteurs venus d’horizons les plus divers, représentant toutes les énergies, toutes les technologies et tous les acteurs.
Son objectif est de présenter les faits et les analyses, en toute probité et en toute indépendance.
L’ambition de La Revue de l’Énergie est ainsi de contribuer à une meilleure compréhension des enjeux dans le domaine de l’énergie et de partager les meilleures stratégies et politiques pour favoriser la transition énergétique vers des systèmes énergétiques plus durables. Il faut pour cela garantir son indépendance, sa diversité et sa qualité afin qu’elle soit une référence et un outil de travail. « C’est à ces conditions seulement qu’elle servira l’intérêt général et espère mériter la confiance de ses lecteurs » écrivait Edmond Epstein, dans le premier numéro, en septembre 1949.