Alors même qu’ils suscitent de nombreux débats, le recours aux biocarburants de première génération remonte aux débuts de l’industrie automobile avec l’utilisation d’éthanol — produit à partir de sucres et d’amidon — et d’huiles végétales dont est issu le biodiesel. Une deuxième génération provient de la biomasse issue de plantes énergétiques ou de coproduits comme la paille. Cette thèse analyse les impacts économiques du développement des biocarburants de première génération et les perspectives concernant les nouvelles générations.

Anthony Paris, Docteur en Sciences économiques (Université Paris Nanterre, Université Paris 8, IFPEN), est titulaire d’un Master en Économie Internationale, Politiques Macroéconomiques et Conjoncture (Université Paris Nanterre) et d’une Licence d’Économie (Université Rennes 1). Ses principaux domaines de recherche sont l’économie de l’énergie et de l’environnement appliquant l’économétrie sur des données tant macroéconomiques que microéconomiques.

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